• Autrefois, il existait dans un coin reculé de la campagne un château. J’y étais en visite avec mon assistant et ce que nous virent là nous choquèrent. Les gens étaient tristes. Je demandais à mon aubergiste pourquoi tout le monde était triste. Il m’expliqua comme quoi leur vieux roi était malade et le médecin ne voyait aucune guérison possible.

    Mon assistant déclara :

    « Moi je suis capable de tous les guérir grâce à une recette dont j’ai le secret !!!!! »

    Je lui disais exactement le fond de ma pensée :

    « Mais tu es fou !!!

    - Non maître, je suis descendant d’un cuisinier qui faisait des biscuits magiques. »

     

    Cela dit, il dit à l’aubergiste :

    « Il me faut : des haricots rouges

    de la farine

    du lait

    des œufs »

     

    Le lendemain matin, je le surpris en train de traficoter quelque chose dans la cuisine. Il me vit :

    « Bonjour maître ! Avez vous passer une bonne nuit ? Comme vous le voyez, j’ai commencé mes biscuits »

     

    Au bout de quelques heures, il vint me voir avec un de ces fameux biscuits, je suppose.

    Je goûtais et là j’eus une furieuse envie de bouger, de m’amuser, de rigoler.

    Satisfait, il offrit la recette à l’aubergiste qui se dépêcha d’en faire d’autres.

    Depuis ce jour, ce royaume est le plus joyeux du monde entier.

     

     

    FIN

     

    Cette histoire m’a été inspiré par un conte de la St-Glinglin

     

    A. H.


    votre commentaire
  • Dans ma vie, je fais plein de choses :

    -je joue avec les copains, aux jeux vidéo.

    -je fais du vélo avec mon papa, et je roule en quad avec mon papa dans les

    champs.

    Ma passion est le foot en club à Volmunster où je suis gardien de but.

    Je joue aussi d’un instrument de musique dans une fanfare et cet instrument

    est le tambour.

    J’aime faire de l’escalade en salle

    Voilà ma vie

    N. K.


    votre commentaire
  • Dans un village de la campagne russe vivait une petite fille prénommé Rosalie.

    Elle n’avait plus de maman. Son père se remaria, mais il choisit une méchante femme.

    Elle détestait la petite fille et la traitait mal. <<Comment faire pour me débarrasser de

    cette enfant ?>> songeait la marâtre.

    Un jour que son mari s’était rendu au marché vendre du blé, elle dit à la petite fille : <<Va

    chez ma sœur, ta gentille tante, et demande-lui une aiguille et du fil pour te coudre une

    chemise>>. La petite fille y alla.

    La marâtre avait tout prévu. Elle commença à ranger ses affaires les plus

    précieuses avec l’aide des domestiques. Quand son mari revint, le couple se mit en route.

    La marâtre fit croire à son mari que la petite fille était partie en avance.

    Ils arrivèrent au milieu d’une forêt sombre où se dressait un magnifique château.

    On pouvait voir à ses tourelles ouvragées, aux fortifications épaisses qu’en des temps

    éloignés, il avait été une demeure riche et exceptionnelle. Mais aujourd’hui, il était à

    l’abandon : des pans de murs s’écroulaient, le toit était percé à plusieurs endroits et le

    lierre recouvrait une grande partie de la façade. Les habitants de la contrée disaient de

    ce lieu qu’il était hanté, depuis que la châtelaine habitant ce domaine avait disparu

    mystérieusement par une nuit de violents orages. Pourtant, ils voulurent quand même s’y

    installer.

    Pendant ce temps, chez la tante, la petite fille avait terminé de coudre la chemise.

    Sa tante qui l’aimait tant et qui était le total contraire de sa sœur, lui avoua tout : sa

    marâtre était partie sans elle en Ecosse. Rosalie voulut immédiatement aller chercher

    son père. Pour cela, sa tante lui donna le peu d’argent qu’elle avait afin qu’elle puisse

    faire le voyage. Elle prit la route avec le strict minimum, en direction de l’Ecosse.

    Elle voyageait avec des marchands qui acheminaient des fourrures jusqu’à Londres.

    Elle s’y arrêta, et pour gagner un peu d’argent, utilisa ses talents de brodeuse.

    De leur côté, la marâtre et son mari avaient aménagé le château à leur guise.

    Quand le père de Rosalie découvrit qu’elle n’était pas là, il entra dans une rage folle.

    Il coupa un doigt à la marâtre et celle-ci répliqua en lui tranchant la tête. Elle se

    débarrassa du corps dans la forêt et vécut comme une veuve dans son château.

    Rosalie arriva enfin à destination. Il s’était écoulé trois ans. En découvrant la marâtre

    sans son père, elle lui demanda des explications.

    La vieille était gravement malade. N’étant plus en état de se défendre, elle lui

    expliqua tout. Elle avait tué son père dans un malheureux accident et elle en était la

    seule responsable. Rosalie entra dans une folle colère, elle voulait venger son père en la

    tuant. Cependant, elle n’en fit rien car elle savait que son père ne reviendrait pas et que

    sa marâtre allait bientôt mourir.

    Fatigué, elle décida de rester une nuit au château. A la nuit tombée, les deux femmes

    allèrent se coucher. Le parfum de la jeune fille se répandait délicatement dans tout le

    logis, jusqu’aux caves secrètes. Dans celles-ci se trouvait un tombeau avec à l’intérieur

    une personne qui avait l’apparence d’un beau jeune homme, mais avec des canines

    énormes. Le doux parfum de Rosalie le réveilla d’un profond sommeil. Il se rendit dans sa

    chambre, la contempla longuement : elle était d’une beauté à couper le souffle. Puis il

    sentit la marâtre et son odeur de sang tourné lui donna la nausée. Le beau vampire se

    dirigea dans la chambre de la marâtre. Elle lui inspira un profond dégoût. Il la mordit et

    but son sang jusqu’à la dernière goutte. Il jeta ensuite un sort au château pour que

    personne ne puisse partir.

    Au petit matin, Rosalie voulut partir. Mais la porte était bloquée, rien à faire !

    Elle chercha sa marâtre mais ne la trouva pas.

    Désespérée, elle pleura sur le seuil de la porte. Trouvant néanmoins le château fort à son

    aise, elle décida de s’y installer. Elle restaura les tentures et l’ameublement grâce à sa

    petite aiguille. Chaque nuit, elle faisait le même rêve, où elle se sentait humée, observée,

    examinée, embrassée du regard...

    Un jour, elle se réveilla en sursaut et vit la silhouette d’un jeune et bel homme.

    Intriguée, Rosalie se demandait si elle était folle ou si elle avait rêvé. Cette vision lui

    plaisait beaucoup et la troublait. De son côté Jean, le jeune vampire, ayant été

    découvert, décida d’aller se présenter à Rosalie.

    La porte grinça et fit apparaître le beau jeune homme. Rosalie fut effrayée de voir ces

    énormes canines et comprit que c’était un vampire. Mais sa beauté la submergea et elle

    en tomba évanouie.

    Il vint à son secours, la mit sur le lit et essaya de la réanimer; mais rien à faire.

    Il décida de lui injecter un peu de son venin pour la sauver. Le venin la transforma elle

    aussi en vampire. Elle n’avait plus peur de lui.

    Pendant des années, ils apprirent à se connaître, en partageant leur quotidien.

    De longues discussions, de belles promenades au clair de lune, de succulents repas

    gargantuesques, d’émouvantes fêtes, de folâtres parties de chasse et de nombreux

    éclats de rire rythmèrent leur vie.

    Un jour, Jean demanda la main de Rosalie, qui accepta en rougissant timidement.

    Les noces furent célébrées dans la plus grande intimité et dans un faste royal.

    Jean était majestueux dans son kilt. Son tartan était aux couleurs chatoyantes de sa

    famille. C’était Rosalie qui avait confectionné leurs vêtements avec l’aiguille et le fil que

    sa marâtre lui avait remis dans son enfance.

    Rosalie portait une magnifique robe de dentelle multicolore et un châle de la même

    étoffe. On aurait dit une matriochka, petite poupée de son enfance. Sa coiffure

    ressemblait à celle des déesses de l’Olympe. Ses escarpins lui faisaient un pied menu de

    toute beauté.

    Ils vécurent heureux jusqu’à la fin des temps et eurent peut-être des enfants.

    C. R.


    1 commentaire
  • Bonjour à  tous. Je m'appelle Sarah, j'ai 15 ans et j'habite Géraldine, une ville à coté de Christchurch , en Nouvelle-Zélande.
        Ma vie n'a rien d'extraordinaire. Mon père est guide de randonnée, et ma mère, et bien, on ne sait pas trop ou elle est...
        Mon frère, lui, est plus âgé . Il a 25 ans et il est stressologue. On s'entend très bien, mais maintenant qu'il a un travail, on se voit beaucoup moins qu'avant, juste pour les quelques vacances qu'il a. Il faut dire que Auckland-Christchurch, ça fait loin. Et oui. Il travaille à Auckland. J'y suis déjà allée une fois, et j'aimerais bien y aller plus souvent. En plus, j'ai de la famille la-bas. Les filles des filles d'une cousine d'une grande-tante de ma mère - c'est compliqué -. Ces cousines-là, j'ai du les voir trois fois dans ma vie.
         Je ne sais pas si je l'ai déjà dit, mais je ne suis pas Néo-Zélandaise. Je viens des Etats-Unis d'Europe, d'une région qui s'appelle "la France". Pourquoi sommes-nous partis ? C'est la guerre. Et pas n'importe laquelle. La quatrième guerre mondiale.
         Cette guerre dure depuis quatorze ans déjà. Alors, quand elle commença, en 2136, nous ne pouvions pas rester là-bas, c’était beaucoup trop dangereux. Effectivement, les bombes atomiques sont maintenant de plus en plus courantes, et beaucoup d'armes désastreuses ont était inventées récemment...Nous voila aujourd'hui en 2150, et cette maudite guerre continue toujours...
         Mon père a eu beaucoup de chance de ne pas être mobilisé, il venait juste de dépasser l'âge requis, autrement-dit trente-sept ans. L'âge pour aller à la guerre a changé en 2030, pendant la Troisième Guerre Mondiale (elle dura 50 ans).
         Dans la panique, ma famille a dépensé toutes ses économies pour quatre places dans un "Ariane Airbus". Un "Ariane Airbus", je vous fait pas un tableau, vous savez ce que c'est. Non ? Et bien, vous savez ce qu'est Ariane, vous savez ce qu'est Airbus, alors vous savez ce qu'est un "Ariane Airbus".

    L'Histoire d'une vie future: Chapitre 1

         Je disais donc. Direction le pays le plus paumé du monde, la Nouvelle-Zélande...


    1 commentaire
  • Je vais raconter mes vacances d’été 2012, je suis parti en Grèce avec mes cousines. Il y avait 3h30 d’avion pour finalement attérir à Athènes où il faisait très chaud (environ 38 degrés).J’étais très contente de découvrir la Grèce ! 
    Nous avons visité un jour sur deux, et quand on ne visitait pas, on faisait une journée "piscine " où on se reposait, on profitait du soleil, de la piscine…Quand on visitait, nous allions voir des musées, des cathédrales, on visitait des villages…
    La vue de notre maison était très vraiment jolie ! La maison était en 2 parties : en haut, il y avait la cuisine, le salon, les chambres des parents, et en bas, il y avait comme une sorte de mini-maison attachée au reste de la maison, où il y avait nos chambres, et il faisait bien frais dans les nôtres.
    BREF. J’ai passé de fabuleuses vacances, et c’est pour ça qu’on y est retournés 3 années de suite, mais pas dans le même coin, et j’aimerais beaucoup y retourner. Les paysages étaient très très beaux, mais il y avait pas beaucoup de verdure, comme il faisait très chaud et qu’il ne pleuvait pas beaucoup. Il y avait presque que des montagnes et les routes étaient très étroites et sans barrières alors qu’il y avait un "ravin" au fond.Nous avons aussi fait du bateau pendant 1h30, pour finalement arriver sur une petite plage magnifique et déserte ! L’eau de la mer était très chaude, et les cailloux aussi !! ( en Grèce, il n’y a presque que des cailloux TRES TRES chauds !!!!!!!!! )
    La seule plage qu’on a visité et où il y avait du sable, c’était en fait une plage de sable rose !!

     

    Mais on ne pouvait pas en prendre, car si tout le monde en prenait, il n’y en aurait plus !
    Nous avions comme une carte postale devant nous, grâce à la mer bleue turquoise, le ciel bleu, les bateaux…
    Ces vacances étaient VRAIMENT TROP TROP BIEN !!!!!



                                                                                     FIN.

    M-A. F.


    2 commentaires
  • Il y a un mois, quand j’étais au stage de basket à Nancy, la nuit du jeudi au vendredi, je me suis cassé une dent.

    Avec mes copains, on avait fait une bataille de polochons. A un moment, un copain a éteint la lumière,  j’ai sauté sur mon lit et je suis malheureusement tombé sur une barre de métal du lit. J’ai eu mal sur le coup mais après ça allait.

    Le lendemain, on a eu les diplômes à dix heures avant de rentrer dans mon petit village de S. L’après-midi, j’ai joué chez P., dans sa chambre. Chacun son tour, avec notre manette commune, on a volé des voitures et on a fait des missions.

    Quelques jours plus tard, la dentiste m’a posé un collage en plastique sur ma dent cassée et j’ai retrouvé mon beau sourire.

    N. H.


    votre commentaire
  • Je m’appelle L. j’ai 12 ans j’habite à E.  Ma passion est le football et le quad .Mon meilleur ami est N. J’ai un frère qui a 14 ans  qui est au lycée agricole à Château Salins en 3ème, il aime bien l’aviron et le quad. Mon père s’appelle M. il a 45 ans et travaille chez granit et marbre, on fait du quad ensemble avec des amis. Ma mère s’appelle S. elle est maitresse de maternelle à  W.,  son hobby est la lecture.

    L. R.


    votre commentaire
  • Je vais vous parlez de moi, je m’appelle Allexendre j’ai 12 ans j’habite à Chicago . J’adores faire du vtt avec mon copain Boris, dans la foret.

    J’habite dans une très grande maison bien fleurie, avec un grand jardin, un cabanon ou se trouve les outils de jardin, une table et des chaises.

    Il y a aussi une piscine derrière la maison .

    J’ai aussi une sœur Mathilde de 10ans qui est très belle et très gentille, j’adore jouer avec elle.

    Elle fait aussi du saxophone .

    N. B.

     


    votre commentaire
  • Ma chienne Fidjy, a six ans et elle est très attachante. C’est un Bouledogue français. Elle est noire avec un trait blanc juste entre les deux yeux. Par contre, elle n’aime pas du tout les autres animaux. A chaque fois qu’elle voit un animal, elle veut l’attaquer. Quand elle était petite, Fidjy est tombée dans les escaliers. Ensuite elle est allée dans une chambre et elle est allée se cacher sous le lit. Elle ne voulait plus sortir. Lorsqu’elle est enfin sortie, on l’a emmené chez le vétérinaire. Il nous a dit que Fidjy avait eu un traumatisme crânien. Du coup on a dû la surveiller. Et ensuite, tout allait mieux. Sinon, j’aime beaucoup jouer avec elle et la caresser. Mais elle est aussi très collante. A chaque pièce où je vais elle me suit. Parfois elle mange un peu tout et n’importe quoi. Du coup après elle est malade. En gros voilà la vie de ma chienne FIDJY.

    A. B.


    votre commentaire
  • Dans cette expression écrite je vais parler de mon année scolaire au CM2,plus précisemment d'un grand ami que j'avais, A.S.. On s'était rencontrés au CP et depuis on a été meilleurs amis.Mais au milieu de l'année,il m'avait dit qu'il allait déménager en fin d'année scolaire.J'étais vraiment décu,je n'arrêtait pas de pleurer...Même jusqu'à aujourdhui il me manque encore.L'année dernière,j'avais écrit un acrostiche sur son nom:

     

    Au revoir mon ami

    La belle amitié est partie

    Ensemble on pouvait tout traverser

    X-zone on pouvai la passer

    Au revoir encore une fois

    Non,s'il te plaît pas ne pars pas

    Dans le noir je te vois

    Ravi de t'avoir eu comme ami

    Ensemble on était comme Mario Et Luigi

    M. T.


    votre commentaire
  • Cette année en vacances j'étais en Turquie pendant 4 semaines à peus pres. J'y suis allé en voiture : la route dure 2 jours parfois. J'étais 2 semaines à Kayseri et a peus pres 1 semaine à Antalya au bord de la mer.Au début j'avais peur d'aller en Turquie car il y a eu un coup d'état le 15 juillet et moi je suis allée le 22 juillet .Ça faisait peur il n'y avait pas de trace de morts sur les route,mais on avait tous des traces dans le coeur quand même.Mais j'étais en Turquie j'avais moins peur qu'avant.Je me suis bien amusée avec mes cousines qui sont à Kayseri. Au moment de revenir en France je n'aivais pas envie de rentrer car je voulais rester avec mes cousines. 

    Z. Y.


    votre commentaire
  • Il était une fois, une famille qui habitait dans une montagne. C’était une montagne normale mais un passage secret cachait quelque chose.

    Dans la famille Larègle, il y a Marie Larègle qui était paysanne, Pierre Larègle, bucheron, deux enfants Lyne Larègle et Steven Larègle qui avait 5 ans. Ils jouaient dehors avec les vaches, les cochons et les moutons. Mais un jour en rentrant de l’école il découvrirent un passage secret.

    Alors là, ils furent paniqués ils se disent : « Un passage secret ! soyons prudent ! » « Nous allons peut-être trouver de l’or » « allons-y »

    Alors ils descendirent dans la grotte des vestiges et tombèrent sur une mauvaise voie avec des araignées partout ils ont peur et sont choqués. Les parents vont voir où sont les enfants. Alors le père a entendu des cris et dit :

    « Non ! les enfants, j’arrive ! » L’heure d’après ils sont remontés à la surface. Leurs parents ont dit :

    « Alors les enfants vous êtes fous ! Privés de télévision pendant deux jours ! »

    E. F.


    votre commentaire
  • Je me présente, je m'appelle Lucie. Je suis reporter sur un blog et mon reportage d'aujourd'hui est consacré à Nadia COMANECI, une grande gymnaste, qui a marqué l'histoire à jamais...  Nadia est née à Onesti en Roumanie le 12 novembre 1961. Elle commença la gymnastique à la maternelle. Elle arriva 13 ème au championnat de Roumanie en 1969. L'étape phare de sa vie fut en 1976, quand elle participa aux Jeux Olympiques de Montréal et obtint le 10 parfait aux barres asymétriques à l'âge de 14 ans. Elle fut peu après transférée à Bucarest et changea d'entraîneur. Elle se prépara pour les Championnats du Monde en 1978 à Strasbourg, mais sans l'entraînement de Béla KAROLYI son ancien mentor, elle chuta et le 10 parfait s'envola. Suite à cette compétition tout le monde pensait qu'elle s’arrêterait là. Mais non, elle retourna à Onesti et s'entraîna pour les Championnats d'Europe qui approchaient. Elle revisita son enchaînement aux barres asymétriques et reprit la première place. Elle s'échappa du pays des années plus tard. De nos jours, elle entraîne des gymnastes entre 3 et 7 ans et habite aux Etats-Unis. Grâce à toutes ses expériences, c'est elle qui a marqué l'histoire de la gymnastique.

    C. R.


    votre commentaire
  • Tous les étés, depuis 5 ans, nous partons une quinzaine de jours en juillet dans un camping dans le sud de la France. J’ai toujours hâte de partir là-bas car j’y retrouve mes cousines et mes amis. Nous nous amusons bien la piscine, au mini-golf, au club et pendant les parties de ping-pong et de pétanque. Mais ce que je préfère, ce sont les soirées à thèmes : soirées mousses, piscine nocturne, karaoké, les spectacles musicaux… Ce que j’apprécie au camping, c’est qu’on se fait toujours des nouveaux amis qu’on revoie chaque année. J’aime aussi tout particulièrement le beau temps, la mer et dormir dans des tentes.

    A. G.


    votre commentaire
  • Mon chien est un teckel. Il est brun avec des poils blancs car c'est un vieux chien. Il a des yeux grands, doux et bruns. Il s'appelle Bandit car quand il était petit, il passait entre les fils du grillage pour aller voir les chiennes du fermier. Quand on le remarquait, tout le monde en voiture pour aller le chercher ! Les chiennes adultes, qu'il considérait comme ses mères ou ses sœurs, sortaient devant et mon chien, la queue entre les pattes, se faisant le plus petit possible pour passer inaperçu, suivait. Bandit est très gentil pour un teckel car les teckels sont souvent assez agressifs. Il n'a pas été enfermé à ma naissance et on s'est aussi bien occupé de lui que de moi, comme ça il n'est pas jaloux et ne devient pas agressif. Il est très bien traité et  est prêt à tout pour nous sauver même prendre un bain *;) Clin d’œil! Je l'adore et s'il meurt je pleurerai pendant relativement longtemps, mais ça n'arrivera pas tout de suite car il est encore en très bonne santé.
    P.G.

    votre commentaire
  • Le nouveau chien

     

    Nous sommes allés chercher notre nouveau chien par un beau matin de brouillard. Vers 4h00 du matin, au moment du départ, la première tuile nous tombe : la voiture ne veut pas démarrer, résultat : on doit attendre 6h00 pour que le mécanicien vienne voir ce qui ne va pas. Rien de grave : mon père avait laissé le GPS allumé et ça a vidé la batterie.

    A 6h30, nous sommes partis. Nous sommes arrivés vers 18h30 chez les gens qui avaient notre chien ( dans le Calvados ). Nous avons fait connaissance, notre futur chien s'appelait Phiby, elle avait 10 semaines à ce moment là.

     

    Le soir, nous avons dormi à l'hôtel et le lendemain nous sommes partis, direction la Lorraine.

    A.H.

     


    votre commentaire
  • Ma chienne, Leya, est un bouvier bernois de un an. C'est le premier chien que j'ai eu et, pour moi, c'est un chien de rêve. Elle ne mord pas, demande souvent des caresses  car elle est très câline.  Elle est calme, sauf un peu moins quand on rentre a la maison car elle ne nous a pas vus de la journée et a envie de jouer. Mais dans ces moments la, elle n'est pas brutale non plus. C'est un assez grand chien, principalement noir avec le ventre et le bout de la queue blancs. Elle a aussi une bande verticale blanche sur le front et les pattes brunes.  Leya est aussi très gourmande. Son père était immense, debout sur les deux pattes arrières il mesure un mètre quatre-vingt-dix et pesait soixante-cinq kilos.

    L. W.


    votre commentaire
  • Dans un village écarté du monde, vivait une famille pauvre mais heureuse avec un père, une mère, un fils et une fille.

       

    Un jour, les parents envoyèrent les enfants cueillir des champignons.

       

    Les enfants prirent donc leurs petits paniers d’osiers et s’en allèrent gaiement dans la forêt.

       

    Une heure plus tard, les enfants, bien contents que leurs paniers soient remplis, retournèrent chez eux. Une fois arrivés proche de leur maison, ils sentirent une forte odeur de fumée. Ils se précipitèrent donc et virent leur maison en feu. Ils appelèrent leurs parents mais n’obtinrent pas de réponses.

       

    Ils aperçurent alors deux ombres sur le sol. Ils s’approchèrent alors et virent que les deux ombres était en fait les cadavres de leurs parents, le dos transpercé de flèches.

       

    Ils fuirent donc dans la forêt  à la recherche du village le plus proche pour y demander de l’aide. Mais, a leurs plus grands désarroi, ils découvrirent la même vision d’horreur.

       

    Les deux enfants errèrent dans la forêt et nous n’entendrons plus jamais parler d’eux.

    [A suivre...]

    Orkeel


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires